02 août 2008

 

Derniers mois à Kampala avant le départ ...


Après 1 mois et demi en Suisse pour Fanny et au milieu des nombreux voyages de Nicolas, nous voilà prêt à vivre les derniers mois de notre périple ougandais.
Notre temps en Ouganda aurait dû se terminer au environ du mois de septembre. Mais le travail que Nicolas devait faire entre juillet et septembre ayant finalement été reporté à la fin de l'année, nous rentrons plus tôt que prévu, c'est-à-dire début juillet avec encore des jours de travail à Medair en Suisse et quelques jours (voir semaines) de vacances à prendre.

Et première étape:
Enlever ces tresses qui sont insupportable sous le soleil de Kampala. Les filles de l'orphelinat ont absolument tenu à le faire elles-même alors me voilà avec ma chevelure entre leur mains...
























Nicolas continue ses incessants voyages mais nous arrivons quand même à prendre un petit week-end de repos à Jinja au source du nil début mai...
































































Puis Nicolas sera quasiment loin jusqu'à sa dernière semaine de travail à Kampala. Fanny en profite donc pour faire de petites vacances avec ses amis.

















































Puis mi-juin, la saison des au-revoirs commence avec l'impression de dire au-revoir constamment alors que la notion même de partir semble impossible. Sentiment tellement étrange de savoir mais de ne pas réaliser que l'on part d'un endroit que l'on a aimé et que l'on ne va probablement pas revoir les personnes avec qui l'on a passé tant de temps.

Un temps aussi pour terminer le travail à l'orphelinat, former les personnes pour reprendre le travail effectué pendant deux ans. Mon dernier travail (mise à part le travail quotidien de finance et ressources humaines) fut également de sélectionner 50 enfants vivants dans le quartier autour de l'orphelinat nécessitant une aide par rapport à l'écolage. Ce fut une expérience magnifique de pouvoir visiter toutes ces familles, leur accueil dans leur quotidien et les échanges qui ont pu avoir lieu. Ce ne fut pas facile de sélectionner les enfants les plus nécessiteux dans un quartier aussi pauvre, où chaque famille nécessiterait une aide et où une famille entière (entre 5 et 10 personnes) vit dans une seule pièce. Notre assistant social qui côtoie quotidiennement ces familles à donc été mon co-équipier pendant tout ce temps de sélection.


























































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